Vous avez dit écoféminisme ?
Après les édifiantes affirmations de Sandrine Rousseau, qui n'est pas la version féministe de Jean-Jacques Rousseau, je vous rassure (ou alors une version si dévoyée qu'elle ne ressemble en rien à son illustre prédécesseur – je n'ose dire homologue, ce serait bien trop insultant pour Jean-Jacques Rousseau !), une question se pose inévitablement : qu'est-ce que l'écoféminisme ? Un moyen écologique de curer les égouts de la pensée en aménageant du temps de cerveau disponible pour les ménagères de moins de cinquante ans ?
Ou peut-être s'agit-il d'une forme d'intersectionnalité orthogonale au wokisme oblique issu du déconstructivisme culturel tangent aux objectifs de soumission des mécréants visant à ménager des horaires réservés exclusivement aux femmes lestées d'un burkini de couleur verte à la piscine municipale de Grenoble ?
Je cherche à comprendre, voyez-vous... Mais au fait, y a-t-il seulement quelque chose à comprendre ?